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Mission : Réussir à conclure

Stop. Oubliez tout ce que vous avez appris sur la séduction. Vous l’avez rencontrée il y a deux mois grâce à Facebook, et elle a accepté sans difficulté le premier rendez-vous. Elle vous trouve drôle, sympa, intéressant, et en gros le courant passe bien mais en fait, vous avez l’impression qu’elle vous « aime bien ». Les signaux sont pour l’instant contradictoires ou laissent perplexe. Vous avez des intérêts communs, un bon feeling, un style de vie intéressant mais vous rencontrez toujours le même problème avec les femmes.
Comment (enfin) réussir à conclure ? Les femmes ne savent pas toujours précisément ce qu’elles veulent, et ne parlons pas des filles. Elles ont beau dire, un type bien, drôle, intéressant et qui a du style, c’est parfois secondaire pour elles. Pour réussir à conclure avec les femmes, suivez les conseils listés dans notre article.

Erreurs à éviter

Ne vous rompez pas le cou à essayer d’attirer son attention. La chiromancie, les tours de magie et toutes sortes d’attractions sont intéressantes, mais pas au point de lui donner envie de coucher avec vous. Ne parlez pas non plus de sexe de façon crue, en l’entretenant de sa sexualité et de la vôtre. Ne lui demandez pas directement quel est son fantasme, au risque de vous retrouver dans la ligue des obsédés sexuels. Les femmes, c’est plus subtil que ça.

Être sûr de séduire

Être sûr de séduire

L’art de sexualiser la relation

Inutile de trop réfléchir, ça n’a pas beaucoup d’importance pour enfin conclure avec la belle Mélissa. Sachez que pour réussir à conclure, vous n’avez pas à la convaincre. Le désir l’emporte en général sur la raison. La faiblesse comme la naïveté n’interviennent pas ici, disons plutôt qu’il s’agit d’un lâcher prise, de s’abandonner finalement à ses pulsions. Il existe tout un art de faire passer votre petite amie d’un état mental neutre à un état d’excitation sexuelle, de manière à lui faire réagir à des pensées sexuelles afin que son corps réclame un contact physique. Vous pouvez tout essayer mais si vous négligez de sexualiser graduellement tout le long de l’interaction, vous n’aurez aucune chance de conclure. Il est essentiel de faire monter la température. A un moment elle se retrouvera hors d’état de réfléchir, et sera suffisamment excitée pour ne plus opposer aucune résistance. Vous saurez qu’elle craque au moment précis où elle se mettra à répondre à votre scénario sexuel (elle vous rend vos caresses, et contribue à vous déshabiller. Dès lors, conclure ne sera plus qu’une formalité.)

Soyez certains que sans sexualisation, pas de sexe

Il vous faut stimuler la tête et le corps de votre conquête pour pouvoir conclure avec elle. Commencez par la sexualisation verbale, puis passez à la sexualisation physique. La sexualisation verbale vous permet de transmettre le bon état d’esprit à votre petite amie au fil de la conversation. L’excitation chez les femmes étant un processus beaucoup plus mental que physique, cette étape est quasi incontournable si vous tenez à conclure. L’art de sexualiser se trouve surtout dans vos gestes, le timbre de votre voix, votre langage corporel. Utilisez le contre pour exagérer le désir. Par exemple, une fois chez vous, précisez lui bien que « tu peux entrer mais à condition de ne pas me sauter dessus une fois dans ma chambre. » Si elle tient à vous faire comprendre qu’elle n’est pas prête à faire l’amour avec vous, dites-lui qu’elle a un esprit tordu. Le tout est de la faire passer pour la perverse, et d’exagérer son désir, voire de l’inventer s’il n’existe pas. A côté, utiliser graduellement le toucher et dès qu’elle est réceptive à vos caresses, agissez. Vous n’obtiendrez rien si vous ne faites rien. Dites-lui que vous avez envie d’elle seulement lorsque vous aurez conclu. Au-delà, sachez utiliser savamment la présélection sexuelle, qui consiste à montrer que vous avez déjà de nombreuses opportunités sexuelles dans votre quotidien, placez des barrières avec des références sexuelles implicites entre elle et vous, et utilisez la technique du rejet (arrêtez toujours une caresse avant qu’elle ne le fasse). Bonne chance !

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